Nelson Costa, artiste lusodescendant aux multifacettes

Nelson Costa est un artiste franco-portugais, né en France. Il a déjà sorti 14 albums et a réalisé des centaines de spectacles.

L’artiste lusodescendant de 27 ans vient de publier une nouvelle chanson en ce début d’année, «Lua e a Noite», avec la collaboration du groupe «Lua Cheia», et il prépare en parallèle un nouvel album. C’était l’occasion pour LusoJornal de parler avec cet artiste qui est compositeur, interprète et musicien.

Nelson Costa nous a parlé de sa carrière, de sa passion pour la musique, sans oublier ses origines portugaises.

 

Tout d’abord votre actualité. Votre prochain single sera «Lua e a Noite» avec le groupe Lua Cheia…

Comme mon public le sait, tous les ans je sors un nouvel album… Ce titre est la suite de l’année dernière car nous avions fait «Cartão Postal» et ça a été un des titres les plus écoutées de mon dernier album. «Lua e a Noite», nous pouvons dire que c’est une très belle musique avec des musiciens talentueux (Lua Cheia).

 

Aujourd’hui, qu’est ce qui marche le plus?

Mon opinion est qu’un artiste doit faire tous les ans un album car le public aime les nouveautés…

 

Votre dernier album date de juin 2018. Comment a été l’accueil du public?

L’accueil a été très, très bon, car cet album m’identifie parfaitement et je pense ne pas avoir déçu mon public.

 

Quelles étaient les différences avec les précédents albums?

Je ne dirais pas «Tout», mais presque. Avec mon équipe, nous avons cherché à innover mon style musical. Nous avons travaillé la voix, les mélodies, etc… et beaucoup de personnes ont senti la différence.

 

Quelles sont les influences que vous avez eu?

Influences? Oui, mon père qui m’a baigné là-dedans depuis tout petit, d’ailleurs j’ai commencé à jouer «concertina» à l’âge de 3 ans.

 

Il y a toujours une partie très instrumentale…

Oui, tout ça sort de ma tête (rires).

 

D’où vous est venu cette passion pour la musique?

Sincèrement? Je ne saurais même pas vous répondre, c’est venu naturellement…

 

A quel moment on se dit: je vais essayer de vivre de la musique?

Au moment où on a le plus de moments libres, à l’âge de 23/24 ans, à peu près. Les gens m’ont poussé (staff et agent…).

 

Actuellement on peut dire que vous en vivez?

Oui, je vis de ça car j’ai mon studio d’enregistrement, ma société événementielle (NF Productions) et bien évidemment mes spectacles…

 

Vous collaborez avec certains d’autres artistes. Jo et Bastien, par exemple… Qu’est ce que cela vous apporte?

Tout d’abord ça m’apporte un plaisir énorme…

 

Est-ce plus facile ou plus compliqué d’être sur tous les fronts? Compositeur, artiste…

Je dirais beaucoup plus facile.

 

Vos origines portugaises d’où vous viennent-elles?

De Ponte da Barca, dans le Alto Minho, à la frontière avec l’Espagne.

 

Vous y allez ou alliez tous les étés?

J’y vais tous les mois…

 

Au Portugal, ils savent que vous êtes chanteur? Vous faites des spectacles là-bas?

Oui, grâce à Dieu, ils savent… et grâce au travail de ma maison de disque (País Real) qui divulgue mon travail dans toutes les radios et télévisions portugaises. L’accueil du public est toujours excellent. Je fais beaucoup de spectacles là-bas, d’ailleurs j’ai tout le mois de juillet et août en tournée.

 

On est en début d’année, que peut-on vous souhaiter? Et qu’avez-vous en tête pour 2019?

Pour 2019 beaucoup de projets de videoclips, nouvel album, nouveaux membres du staff, etc…

 

Pour finir, où pouvons-nous vous retrouver ces prochaines semaines?

Le 9 février à Wissous, pour la 3ème édition de «Festa da Feijoada» dont je suis l’organisateur de A à Z. Le 16 février à Beaumont-sur-Oise et le 23 février au restaurant Red Mar.

 

 

LusoJornal