CCIFP

Bordeaux, Lille et Lyon ont accueilli le Salon de l’Immobilier Portugais

La deuxième édition des Journées du Salon de L’Immobilier et du Tourisme Portugais s’est déroulée la semaine dernière, du 19 au 21 septembre, en s’exportant dans 3 villes différentes: Bordeaux, Lille et Lyon.

Après la 6ème édition du Salon de l’Immobilier à Paris, en mai dernier, la Chambre de commerce et d’industrie franco-portugaise (CCIFP) a permis aux exposants de rencontrer le grand public en dehors de la région parisienne et les renseigner sur les questions immobilières, touristiques, fiscales et notariales.

Différentes conférences mises en place pendant les 3 jours ont pu aiguiller les visiteurs en les conseillant sur divers points: comment s’installer au Portugal, le volet fiscal et notarial, ou encore des informations spécifiques aux investissements, avec des points d’intérêts touristiques et immobiliers.

La responsable événementiel de la CCIFP, Sandrina Pereira, a expliqué au LusoJornal que «95% des visiteurs étaient des Français».

Devenus les premiers acheteurs étrangers depuis la mesure prise par le Gouvernement portugais en 2013 en exonérant l’impôt sur les revenus de source étrangère, «aussi bien à Paris comme en Province, les Français se montrent de plus en plus séduits par cet avantage et on a pu le constater lors de ces 3 jours».

Essentiellement des entrepreneurs et des retraités se sont déplacés «et étaient très déterminés sur leur projets». D’après Sandrina Pereira la plupart était des clients potentiels et non pas des simples visiteurs. «Ils visaient une région bien particulière et sont venus chercher des informations bien précises. Lisboa et l’Algarve sont les deux régions les plus prisées».

Près de 50.000 Français ont mis le cap vers le Portugal séduits par sa douceur de vivre, son climat ensoleillé, sa proximité géographique, son cadre sécuritaire, la hausse du pouvoir d’achat (+30% en moyenne), sa souplesse administrative et un dispositif unique en Europe qui permet de créer son entreprise dans l’heure et, enfin, son offre immobilière 3 fois moins onéreuse qu’en France.

 

 

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LusoJornal