Grande Nuit pour célébrer la Musique Portugaise à l’Université Jean Monnet de Saint Etienne

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Dans le cadre du «Printemps des Poètes», le Lectorat et le Groupe d’études de Portugais de la Faculté Arts Lettres Langues (ALL) de l’Université Jean Monnet de Saint Etienne (42) organisent une «Grande Nuit» pour célébrer la Musique Portugaise à Saint-Étienne, le 20 avril, à 19h30, dans la salle de spectacles de la Maison de l’Université.

«La musique portugaise comporte la plupart des genres musicaux pratiqués en Occident» peut-on lire dans la présentation du spectacle. «La musique traditionnelle portugaise reste populaire, après avoir été modernisée par des grands noms et des grands évènements. Par ailleurs, la danse, le rock, la pop, le heavy metal, la house et le hip-hop et la kuduro, le zouk et le kizomba (rythmes africains) sont parmi les styles musicaux les plus populaires au Portugal».

Mais cette fois-ci le choix s’est porté sur le groupe «Cantares da Terra», de l’Association Culturelle Portugaise de Saint Etienne. C’est une association avec une grande tradition dans la musique traditionnelle, car un de ses membres est Manuel Mendes, professeur de musique, chanteur et musicien.

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Deux rencontres

Dans le cadre de cette 25ème édition du Printemps des Poètes à l’Université Jean Monnet, deux rencontres ont également été organisées.

La première rencontre a eu lieu hier, avec le Député portugais Paulo Pisco, élu au Parlement portugais par les Portugais émigrés en Europe.

Paulo Pisco est le Coordinateur des Députés de la Commission des Affaires Etrangères à l’Assemblée Nationale Portugaise, mais il est également membre de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, Président de la Sous-Commission des diasporas. Son intervention s’est concentrée justement sur les diasporas portugaises.

Le mardi 18 avril, à 13h00, aura lieu une rencontre avec l’écrivain Armindo de Oliveira.

Né dans la région de Leiria, Armindo de Oliveira est arrivé en France en 1965, à l’âge de 10 ans pour une histoire semblable à celle de milliers d’autres immigrés portugais dans les années 60.

Armindo de Oliveira va parler de son premier ouvrage, «Confluences d’un pays à l’autre», un voyage dans le temps et la mémoire entre le Portugal e la France.

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LusoJornal