La Maire de Jouy-en-Josas souhaite se rapprocher davantage d’Alcobaça

[pro_ad_display_adzone id=”37510″]

 

 

Le Musée de la Toile de Jouy, en Jouy-en-Josas (78) accueille depuis hier, une exposition intitulée «Les Chitas d’Alcobaça», avec une centaine de pièces de la collection de Pereira de Sampaio.

Lors du vernissage ce l’exposition, ce jeudi 2 juin, étaient présents Marie-Hélène Aubert, Maire de Jouy-en-Josas, Charlotte du Vivier-Lebrun, Directrice du Musée de la Toile de Jouy, Victoire di Rosa, Commissaire Générale pour la France de la Saison France Portugal 2022, Inês Silva, Vereadora de la Câmara municipal d’Alcobaça, Luís Peres Pereira, Président de l’Association de défense du patrimoine de la région d’Alcobaça (ADEPA) et de Jorge Pereira de Sampaio, fils-héritier du couple de collectionneurs, Maria do Céu et Luís Pereira de Sampaio.

Marie-Hélène Aubert a répondu aux questions de LusoJornal et envisage développer les liens avec «nos cousins portugais».

 

Comment accueillez-vous cette exposition dans le cadre de la Saison France Portugal 2022?

Je trouve que cette Saison Croisée est une magnifique occasion et une opportunité de se connaître mutuellement avec d’autres pays. L’Institut Français organise cela régulièrement avec différents pays, cette année c’est le Portugal et on s’en réjouit parce que les liens entre la France et le Portugal sont très serrés, nos populations sont très mêlés et donc on est très heureux et très fiers de s’inscrire dans cette Saison Croisée, avec un événement qui en plus se fait avec des cousins très proches, puisque ces toiles sont vraiment de la même famille et viennent de la même origine… avec des couleurs plus pétillantes dans les Chitas d’Alcobaça que sur les toiles de Jouy, qui sont plus sages. On est très heureux d’accueillir ces toiles ici, très honorés et je pense, c’est mon avis, que c’est un événement majeur de la Saison France Portugal.

 

Allez-vous développer ces échanges avec le Portugal?

J’aimerais beaucoup qu’on puisse développer des liens avec le Portugal, oui. Personnellement, je découvre cette histoire commune. Monsieur Jorge de Sampaio me parlait d’accueillir des toiles de Jouy au Portugal, donc on va regarder comment cela est possible, mais ça serait avec plaisir.

 

Est-ce que la ville de Jouy a un projet de jumelage avec le Portugal?

J’étais certaine que vous alliez me poser cette question (rires). Parce que j’y ai pensé, moi-même. C’est vrai que ça aurait du sens, parce qu’il y a les mêmes savoir-faire, il y a des choses qui nous rassemblent. En tout cas, des liens culturels à rapprocher… ça c’est sûr, dans les prochaines années.

 

Savez-vous combien de Portugais il y a à Jouy-en-Josas?

Non. Mais il y a une très grande Communauté portugaise.

 

[pro_ad_display_adzone id=”46664″]