Deux films brésiliens annoncés à la 36ème édition de «Cinéma en Construction»

Les six premiers films de la 36ème édition de «Cinéma en Construction» – sur un total de 185 productions – ont été annoncés, avec deux productions brésiliennes. Ce dispositif qui se déroulera les 23, 24 et 25 septembre au festival de San Sebastian – en collaboration avec Cinélatino, Rencontres de Toulouse – montrera des productions du Brésil, de la Colombie, du Mexique, du Panama et de l’Uruguay.

Des premières œuvres sélectionnées, il y a «Madalena» de Madiano Marcheti (Brésil) et «Os caminhos do meu pai» de Mauricio Osaki (Brésil/Pologne) – sur la photo – mais il y a également «Las vacaciones de Hilda» de Agustín Banchero avec une coproduction Uruguay/Brésil.

Cinéma en Construction est une initiative professionnelle menée à bien par le Festival de Saint Sébastien et Cinélatino, Rencontres de Toulouse dans le but de donner une impulsion au cinéma d’Amérique latine.

Créée en 2002, la manifestation biannuelle est devenue une plateforme de projection internationale de nouveaux talents et un point de rencontre de référence pour l’industrie audiovisuelle.

 

«Madalena» de Madiano Marcheti (Brésil)

Production: Pólo Filmes, Raccord Produções

«Le corps de Madalena, une femme trans, git dans un champ de soja. Luziene vit sans grand espoir dans un quartier pauvre de banlieue, aidant sa mère au travail. Dans un quartier chic enclos à l’autre bout de la ville, vit Cristiano qui doit démontrer à sa famille qu’il peut se charger de la plantation de soja de son père. Dans un ruisseau, Bianca et d’autres amis trans se débrouillent comme ils le peuvent de la mort de Madalena. Quoiqu’ils ne se connaissent pas, l’esprit de Madalena, qui vole sur la ville, crée un lien entre eux. Première œuvre».

 

«Os Caminhos do Meu Pai» de Mauricio Osaki (Brésil/Pologne)

Production: Dezenove Som e Imagens, Kraków Film Klaster

«Trung, un camionneur qui voyage toujours à travers le nord du Vietnam, découvre que sa belle-mère a été hospitalisée et qu’il doit se charger de Vy, sa fille de dix ans qu’il connait à peine, puisqu’elle a été élevée par sa grand-mère. Il est déjà engagé pour le voyage suivant et, quoiqu’il soit opposé à y emmener sa fille, il n’a pas le choix. Trung et Vy sont obligés de partager ce voyage sentimental de deux générations sur les routes du nord-Vietnam: le premier pour elle, le dernier pour lui. Première œuvre».

 

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