Pinhal do Ovar, pastel de José Manuel Marreiro

Momento de Poesia com José Marreiro

Les chemins

 

L’immensité en devenir, des bouts de riens,

Je ne voie pas d’avenir, juste les chemins.

Qu’ils sont longs ces pas, de mon cœur jusqu’à chez moi…

 

La morosité s’est installée, le drapeau en berne,

Couleurs désinhibées, cloisonnées dans ses adernes.

Qu’ils sont longs ces pas, de mon cœur jusqu’à chez moi…

 

La sève étourdie par ces racines, se plie mais ne rompt pas,

Elle change de doctrine, pour mieux t’enlacer dans ses bras.

Qu’ils sont longs ces pas, de mon cœur jusqu’à chez moi…

 

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LusoJornal