L’humoriste José Cruz a réalisé un film pour la ville de Fresnes sur l’utilité du Comité de Quartier

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Le reportage se termine par la phrase: «J’y vis, j’agis pour moi et chacun».

À sept mois des présidentielles en France, il n’y a pas un jour qu’un nouveau candidat ne vienne s’ajouter, à la déjà longue liste des prétendants à l’Elysée, qu’une déclaration ne fasse la ‘une’ des journaux. Les agences de sondages se frottent les mains, des records d’enquêtes vont être battus, espérons que le record d’abstention ne le soit pas.

Le ‘national’ est important, toutefois n’est-ce pas, le sur place, la politique locale, le plus important dans la vie des gens, des habitants d’une ville, d’une cité?

Pour être acteur, il faut être un bon communiquant. Son expérience a conduit José Cruz à proposer ses services dans la réalisation de films pour des entreprises, municipalités…

C’est dans ce but que la ville de Fresnes a sollicité José Cruz et son partenaire Léopold pour la réalisation et production d’un film, le but étant d’inciter les habitants de cette ville à bouger et aller rejoindre le Conseil de Quartier.

Le film donne la parole à quelques habitants de cette ville de 95 mille habitants aux portes de Paris, ville qui se veut, qui se montre ouverte sans freins au dialogue avec ses habitants.

Dans le reportage, José Cruz met en évidence le Conseil de Quartier comme un moyen important pour entretenir les liens sociaux entre habitants, et entre ces derniers et la municipalité. Les citoyens de Fresnes sont demandeurs. Les réponses des responsables municipaux pourra, par ricochet, redonner une certaine noblesse à la politique et à la proximité avec les élus.

En écoutant l’avis des habitants de Fresnes, sur la ville où ils vivent, sur le présent, mais aussi sur l’avenir, la Municipalité souhaite démontrer, avec la vidéo de José Cruz, qu’elle donne la parole à l’individu, qui en s’exprimant, contribue pour le bien collectif, avec ses idées, ses constats, ses propositions d’amélioration.

L’exemple de cette écoute est donnée par un membre d’une association qui, devant la plainte de l’école Jean Monnet du manque d’espace dans la cour de récréation et dans la cantine, a agi pour que le problème soit résolu, la cour fut élargie.

José Cruz prouve par ce reportage qu’il peut aider à construire des liens, à faire bouger des frontières, à informer, à partager.

 

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LusoJornal