Les résultats du premier «Choix Goncourt du Portugal» seront présentés le 3 mai

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Le 3 mai, le Portugal lance la première édition de son «Choix Goncourt». En partenariat avec l’Agence Universitaire de la Francophonie, l’Alliance française de Coimbra et l’Institut français du Portugal, huit universités portugaises (Lisboa, Nova de Lisboa, Porto, Coimbra, Minho, Algarve, Aveiro et Madeira) se lancent dans l’aventure du premier «Choix Goncourt du Portugal».

Les étudiants lisent actuellement les livres des 4 finalistes de la sélection Goncourt: «Vivre vite» de Brigitte Giraud, «Le Mage du Kremlin» de Giuliano da Empoli, «Les Presque Soeurs» de Cloé Korman et «Une somme humaine» de Makenzy Orcel.

Pour cette première édition, les organisateurs accueilleront l’Académicien Goncourt Tahar Ben Jelloun qui, représentant la célèbre société littéraire, et parrainera le lancement, mais également Leïla Slimani, lauréate du Prix Goncourt 2016, qui habite maintenant au Portugal. Tous deux animeront les échanges et la séance de délibération avec les étudiants, puis présideront la proclamation du prix.

Le prix Goncourt est un prix littéraire, une récompense attribuée à l’auteur d’un roman francophone publié pendant l’année écoulée. Celui-ci est remis chaque année au début du mois de novembre, depuis 1903.

Il est décerné par un jury de dix personnes appartenant au milieu littéraire, à l’issue d’une série de votes.

L’expression «prix Goncourt» provient d’Edmond de Goncourt, un auteur français du XIXème siècle. Son idée était de remémorer une partie de son œuvre littéraire, qu’il a publié avec son frère Jules de Goncourt. Il décide donc par testament de fonder une Académie chargée de décerner un prix littéraire annuel, le tout étant financé par leur fortune. Le prix porte donc le nom des deux frères.

Le «Choix Goncourt» donne libre choix aux étudiants francophones de dévoiler leur choix en littérature.

La compétition est généralement organisée par les représentations de la France à l’étranger (Ambassades, Alliances françaises, Institut français…) et l’Agence Universitaire de la Francophonie (AUF).

Les étudiants ont l’appui de leurs professeurs qui les accompagnent tout au long du processus de lecture et de délibération. Les jurés ont l’obligation de lire les romans en français, et d’argumenter durant la discussion également dans la langue de Molière.

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