Performance d’Ana Gandun à la Maison du Portugal André de Gouveia

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La Maison du Portugal André de Gouveia, dans la Cité universitaire internationale de Paris, va accueillir le vendredi 10 mars, à 19h30, la performance “Ici je suis déjà en train de disparaître” de l’artiste portugaise Ana Gandun.

“Ici je suis déjà en train de disparaître” est une action performative basée sur des photographies trouvées dans la rue, dans des maisons en démolition et dans les tiroirs, albums et boîtes à chaussures des archives familiales portugaises au Brésil. “Sur scène, un dispositif narratif et visuel est construit dans une cadence rhapsodique, où les images sont convoquées comme des actes postaux, des dérives, des errances et des fragments lumineux” dit le texte de présentation de la performance.

Ana Gandum est née à Évora, en 1983 et travaille avec des photographies, des objets et des récits abordés à travers différentes actions, perspectives, méthodologies et médias, formant ainsi un assemblage pluriel et un dispositif de recherche différencié.

Ana Gandum est titulaire d’un diplôme en Histoire du FCSH – Université Nova de Lisboa (2005), d’un Master 2 en “Histoires, Savoirs, Pouvoirs” de l’Université Paris 8 Saint-Denis (2008) et d’un Doctorat en Etudes Artistiques – Arts et Médiations également de FCSH – Université Nova de Lisboa (2019). Elle a enseigné deux unités curriculaires liées à la photographie et à la culture visuelle au FCSH – UNL en 2020 et est membre de l’ICNOVA – Nova Institute of Communication.

L’artiste vit actuellement à Funchal et collabore avec le Museu de Fotografia da Madeira – Atelier Vicente et la Direção Regional da Cultura de Madère dans la recherche d’archives photographiques et le développement de projets culturels.

Ana Gandun est également chanteuse et compositrice, ayant occasionnellement collaboré avec d’autres artistes et musiciens.

“Ici je suis déjà en train de disparaître” est donc une création et performance d’Ana Gandum, avec une création lumière et régie son de Gisèle Pape, vidéo et scénographie de Nina da Silva, avec une production de l’ICNOVA – Nova Institute of Communication.

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