Suggestion de lecture: Le nouveau roman de Jean-Jacques Toufou: “En touchant le vermillon, on se salit de rouge”

Un roman pas comme les autres, paru aux éditions «Canard Laqué». La base de l’intrigue est pourtant simple et séculaire, vieille adage, vieille rengaine si Napoléonienne, reprise maintes et maintes fois par des politiques, des écrivains, des patrons industriels, des scientifiques, par la populace elle-même et ce, depuis des années, cette maxime… «Quand la Chine s’éveillera, le monde tremblera».

Cette affirmation prophétique est attribuée à Napoléon. L’empereur l’aurait prononcée en 1816, après avoir lu «La relation du voyage en Chine et en Tartarie» de Lord Macartney, premier Ambassadeur du roi d’Angleterre en Chine, ou à une autre occasion à Sainte Hélène.

L’histoire actualisée bien sûr à notre à époque, en 2020 l’année de tous les dangers, l’année de la «quarantaine», c’est presque une gageure, un «hasard»!? Peut-être mais en soi, un «hasard» devenu une vraie réalité.

C’est une fiction bien menée, pleine de surprises, rondement réfléchie, presque machiavélique, impliquant tour à tour la géopolitique et le déséquilibre de l’économie mondiale.

Sur fond de guerre économique, à son paroxysme je dirais, et par un pur «hasard» il se trouve une péripétie, un événement des plus troublants «l’inauguration par les autorités franco-chinoises d’un institut de virologie de recherche P4» (P4, laboratoire de recherche sur les virus et éventuellement, nouvelles créations de ces derniers).

Le romancier trouve là, une base de départ des plus troublantes et des plus originales.

Là, se suivent des incidents qui se succèdent, les uns après les autres, l’effet papillon, peut-être, la théorie des dominos, pourquoi pas, je ne sais pas.

Le fait est, ce n’est pas un tsunami qui déferle sur les continents mais deux, économique et mortel, accompagné d’un séisme au-delà de l’échelle de Richter ébranlant de ce fait la structure mondiale… Et comme par un heureux «hasard» le pays où la population est la plus importante est le moins touché!? Un seul genou à terre!?

On ne comprend pas bien les retours positifs de ce pays, à leurs décharges et selon l’auteur, je cite «avé un basque sur la louche, on ne comprend pas ben!»

L’écrivain reprend la phrase d’Edmund Burke et la fait sienne: «Ceux qui ont beaucoup à espérer et rien à perdre, seront toujours les plus dangereux».

Sans vouloir trop divulguer l’intrigue et ses machinations, on peut aisément trouver la fin, surtout au fil de vos lectures après toutes ses basses manœuvres et imbroglios, ce livre intrigue.

Cette nouvelle donne des cartes va sans nul doute vous faire basculer dans un nouveau monde.

El Campeoné… 冠軍… Le champion…

Un livre catastrophe, qui se lit obligatoirement dans son coin tout seul, c’est une des conditions «sine qua non» pour bien réfléchir et comprendre l’effet «Bourdon» aux conséquences tant intellectuelles que physiques qui vous laissent sur le carreau… Je vous en laisse seul juge…

Ce roman qui a fait sensation et restera dans les annales comme celui de «la grippe espagnole écrit par Franco» et qui a fait sensation au début du 19ème siècle…

L’éditeur nous a informé que ce roman «En touchant le vermillon, on se salit de rouge», déjà un best-seller, il a été tiré à 7.703 milliards exemplaires…

Ceci-dit, je vous laisse dans votre confinement et bonne lecture… Bien entendu toute ressemblance avec des personnages ou des évènements existants ne serait que pur «hasard»…

 

[pro_ad_display_adzone id=”41082″]